Critique : « L’Enterrement des étoiles », de Christophe Guillemin

Quatrième de couverture : L’annonce de la fin est proche. À la cité des héritiers, le roi Jenophon reçoit la visite de l’oracle annonciateur. C’est le moment que choisit un cirque pour s’installer non loin et offrir un moment de joie. Cette compagnie de monstres de foire doit faire face à l’obscurité qui s’étend et découvrir la lumière intérieure, l’unité et l’harmonie comme derniers espoirs. Dans la nuit d’encre, les étoiles éphémères seront portées par ceux que la société rejette pour leurs différences.

Jeune auteur de Clermont-Ferrand, avec ce premier roman, grâce à une mythologie inventive, Christophe Guillemain nous embarque dans un récit aux personnages forts et attachants où les monstres ne sont jamais ceux qu’on croit.

Détails techniques :

Fantasy

Editeur : Mnémos, coll. Icares (2022)

320 pages (broché)
Broché : 20 € / Numérique : 9,99 €

Une très belle découverte !

Ce premier roman de Christophe Guillemain est une pépite, une vraie réussite. Sa plume envoûtante est très immersive, les images défilent sous nos yeux aussi nettement que dans un film.
L’intrigue est prenante, l’univers est étoffé, pensé et construit de manière originale avec cet aspect onirique qui me plaît beaucoup.

Découvert grâce à Estelle du @le_comptoir_de_l_ecureuil, j’avais hâte qu’il sorte en librairie !

Sans trop vous en dévoiler, voici quelques mots sur l’histoire :

Imaginez un monde où les étoiles ont disparu, où la fin est proche… La prophétie annonce pourtant qu’il existe parmi le peuple un Mal-Né qui pourra ramener la Lumière dans ce monde à la dérive.

Dans ce roman, nous suivons une drôle de compagnie, le cabinet des Merveilles. Cette troupe de cirque ne compte dans ses rangs que des mal-nés, des bêtes de foire, des monstres difformes qui ont tous un talent secret.

J’aime suivre chacun des personnages, avec leur particularité physique étonnante. Certains souffrent d’un mal étrange et incurable, d’autres sont dotés de pouvoirs surhumains ou magiques. Ils ont tissé des liens d’amitié, s’entraident à leur façon.
Chacun joue un rôle déterminant dans cette histoire et poursuit une quête personnelle. Qu’ils soient à la recherche de leurs origines ou qu’ils rêvent à un avenir meilleur, ils sont touchants à leur manière.

Malgré la richesse de la plume, le récit n’est jamais pesant, il reste fluide et donne envie d’en savoir plus. Un vrai page-turner !

L’illustration de couverture est aussi sublime, et c’est d’ailleurs ce beau travail éditorial qui m’a donné envie d’en savoir plus sur ce roman !

Une critique d’Elamia publiée le 17 mai 2022 sur Babelio  à cette adresse.

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